L’indice de liberté économique

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L’édition 2020 de l’« index of economic freedom » qui mesure la liberté économique dans 180 pays dans le mondena été dévoilé récemment par The Heritage Foundation, un think tank et lobby américain conservateur, basé à Washington.

Comme les rapports précédents, 12 facteurs quantitatifs regroupés en quatre grandes catégories, ont été utilisés pour établir cet index. Il s’agit notamment de : l’Etat de droit (le droit de propriété, l’intégrité du gouvernement, l’efficacité judiciaire) ; la prépondérance du gouvernement (les dépenses publiques, la pression fiscale, la santé fiscale) ; l’efficacité réglementaire (la liberté des affaires, la liberté de travail, la liberté monétaire) ; les marchés ouverts (la liberté commerciale, la liberté d’investissement, la liberté financière).

Sur la base des scores obtenus (de 0 à 100), les pays sont classés en cinq catégories en fonction de niveau de liberté estimé de l’économie. Les pays ayant enregistré les scores les plus élevés (entre 80 et 100) sont considérés comme économiquement « libres ». Suivent de façon décroissante, les économies « globalement libres », puis celles « modérément libres ». Viennent ensuite les pays avec « peu de liberté » économique, et enfin les pays dits « répressifs » en la matière.

En 2020, La Tunisie s’est classé 128ème sur un total de 180 pays, et ce  avec un score de 55,8. Elle se situe désormais dans le groupe « Principalement non libre » (mostly unfree). En effet, son score global est bien inférieur aux moyennes régionales et mondiales ». Peut-on lire dans le rapport. Le rapport donne, ainsi, une idée sur la liberté économique en Tunisie.

Toutefois, le score de la Tunisie s’est accru de 0,4 point. Et ce en raison d’une amélioration des droits de propriété et d’autres indicateurs de l’Etat de droit. « Malgré des progrès notables en matière de démocratisation et des efforts de réforme en cours, la transformation de la Tunisie vers une économie davantage axée sur le marché a été ralentie par l’instabilité politique ». Avancent les auteurs du rapport.

Le rapport a, par ailleurs, évoqué un nombre de défaillances entravant la liberté économique en Tunisie. Dans ce sens, le rapport parle d’une « corruption endémique« , la bureaucratie, l’incertitude politique, la difficulté d’accès aux crédits, et « un secteur financier faible et dominé par l’État ». Dans le même contexte, le rapport a souligné que « la croissance du PIB au cours des cinq dernières années a été assez minime pour un pays en développement à revenu intermédiaire ».

Le rapport recommande au gouvernement de remédier aux lacunes en matière de la fiscalité, de la liberté financière et de l’intégrité gouvernementale.[/vc_column_text][vc_column_text]

L’édition 2020 de l’« index of economic freedom » qui mesure la liberté économique dans 180 pays dans le mondena été dévoilé récemment par The Heritage Foundation, un think tank et lobby américain conservateur, basé à Washington.

Comme les rapports précédents, 12 facteurs quantitatifs regroupés en quatre grandes catégories, ont été utilisés pour établir cet index. Il s’agit notamment de : l’Etat de droit (le droit de propriété, l’intégrité du gouvernement, l’efficacité judiciaire) ; la prépondérance du gouvernement (les dépenses publiques, la pression fiscale, la santé fiscale) ; l’efficacité réglementaire (la liberté des affaires, la liberté de travail, la liberté monétaire) ; les marchés ouverts (la liberté commerciale, la liberté d’investissement, la liberté financière).

Sur la base des scores obtenus (de 0 à 100), les pays sont classés en cinq catégories en fonction de niveau de liberté estimé de l’économie. Les pays ayant enregistré les scores les plus élevés (entre 80 et 100) sont considérés comme économiquement « libres ». Suivent de façon décroissante, les économies « globalement libres », puis celles « modérément libres ». Viennent ensuite les pays avec « peu de liberté » économique, et enfin les pays dits « répressifs » en la matière.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width=”1/3″][vc_custom_heading text=”Top 10 mondial” font_container=”tag:h3|text_align:left” use_theme_fonts=”yes”][vc_column_text]

1 Singapour 89.4
2 Hong Kong 89.1
3 Nouvelle Zelande 84.1
4 Australie 82.6
5 Suisse 82.0
6 Irelande 80.9
7 Grande Bretagne 79.3
8 Danemark 78.3
9 Canada 78.2
10 Estonie 77.7
….
128 Tunisie 55.8

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1 Ile Maurice 74,9
2 Rwanda 70,9
3 Botswana 69,6
4 Seychelles 64,3
5 Cap-Vert 63,6
6 Maroc 63,3
7 Tanzanie 61,7
8 Namibie 60,9
9 Madagascar 60,5
10 Côte d’Ivoire 59,7
….
22 Tunisie 55.8

[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width=”1/3″][vc_custom_heading text=”Top 10 Arabe” font_container=”tag:h3|text_align:left” use_theme_fonts=”yes”][vc_column_text]

1 Emirates Arabes Unis 76.2
2 Qatar 72.3
3 Bahrain 66.3
4 Jordanie 66
5 Oman 63.6
6 Maroc 63.3
7 Koweit 63.2
8 Arabie Saoudite 62.4
9 Tunisie 55.8
10 Egypte 54

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_custom_heading text=”Situation en Tunisie” font_container=”tag:h3|text_align:left” use_theme_fonts=”yes”][vc_column_text]En 2020, La Tunisie s’est classé 128ème sur un total de 180 pays, et ce  avec un score de 55,8. Elle se situe désormais dans le groupe « Principalement non libre » (mostly unfree). En effet, son score global est bien inférieur aux moyennes régionales et mondiales ». Peut-on lire dans le rapport. Le rapport donne, ainsi, une idée sur la liberté économique en Tunisie.

Toutefois, le score de la Tunisie s’est accru de 0,4 point. Et ce en raison d’une amélioration des droits de propriété et d’autres indicateurs de l’Etat de droit. « Malgré des progrès notables en matière de démocratisation et des efforts de réforme en cours, la transformation de la Tunisie vers une économie davantage axée sur le marché a été ralentie par l’instabilité politique ». Avancent les auteurs du rapport.

Le rapport a, par ailleurs, évoqué un nombre de défaillances entravant la liberté économique en Tunisie. Dans ce sens, le rapport parle d’une « corruption endémique« , la bureaucratie, l’incertitude politique, la difficulté d’accès aux crédits, et « un secteur financier faible et dominé par l’État ». Dans le même contexte, le rapport a souligné que « la croissance du PIB au cours des cinq dernières années a été assez minime pour un pays en développement à revenu intermédiaire ».

Le rapport recommande au gouvernement de remédier aux lacunes en matière de la fiscalité, de la liberté financière et de l’intégrité gouvernementale.[/vc_column_text][vc_separator][vc_row_inner][vc_column_inner width=”2/3″][vc_column_text]

L’Etat de droit

  • le droit de propriété,
  • l’intégrité du gouvernement,
  • l’efficacité judiciaire

La prépondérance du gouvernement

  • les dépenses publiques,
  • la pression fiscale,
  • la santé fiscale
L’efficacité réglementaire

  • la liberté des affaires,
  • la liberté de travail,
  • la liberté monétaire

Les marchés ouverts

  • la liberté commerciale,
  • la liberté d’investissement,
  • la liberté financière

[/vc_column_text][/vc_column_inner][vc_column_inner width=”1/3″][vc_custom_heading text=”Progression” font_container=”tag:h4|text_align:left” use_theme_fonts=”yes”][vc_line_chart type=”line” legend=”” x_values=”2016; 2017; 2018; 2019; 2020″ values=”%5B%7B%22title%22%3A%22Indice%22%2C%22y_values%22%3A%2257.6%3B%2055.7%3B%2058.9%3B%2055.4%3B%2055.8%22%2C%22color%22%3A%22blue%22%7D%5D”][/vc_column_inner][/vc_row_inner][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_message]

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